Sous la lune du soir (libre)

Un ciel rempli d'étoiles qui brillaient faiblement, un vent frais qui caraissait les joues de Ryobe. Rien de mieux pour lui, c'était l'endroit parfait pour se détendre.

La lune brillait fort ce soir, il y avait un grand silence. Ryobe marchas en direction du bout du toit ou on pouvait voir le parc, il jetas ensuite un coup d'oeil curieux. C'était complétement vide, personne n'y passait plus a cet heure, sauf quelques jeunes couples de l'école, c'était très calme. Ryobe s'assit et s'appuyas en arrière sur ses mains la tête levée, et il laissa le vent lui caresser le visage.

*Père, je me demande comment allez-vous. Cela fait 1 ans que je ne vous vois plus. J'espère que tout vas bien pour vous.*

Ryobe savait que celui qu'il traitait comme son père ne l'était pas, il l'avait juste adopté. Mais pour lui il resteras toujours son père, celui qui l'as sauvé des rues froides, celui qui l'as traiter comme son propre fils.

Les souvenirs lui revenait, des sortes de flash. Il revoyait les entrainement que lui faisait passer son père, faire apparaitre des armes a la suite, soulever des poids. Tout ca avec un léger sourrir sur son visage a chaque fois que son "fils" réussissait ce qu'il avait commencer.

Il restas immobile pendant des minutes durant, sans se soucier du temps. Juste une envie folle de rester seul, loin des autres de l'école, rien que pour se détendre.

*Je me demande, pourquoi les couples se forment? L'humain n'est qu'un animal a la base et le sentiment d'amour n'existe pas pour un animal. Juste une attirance phisique a la base, alors pourquoi vouloir vivre et mourrir avec une personne qu'on ose dire "aimer". Cela n'as pas de sens, je trouve ces gens assez stupide de dire qu'ils aiment quelqu'un alors que c'est impossible.*

Il ouvrit les yeux et fixas la lune pendant un moment.

Fuir...fuir et oublier...oublier cette douleur...oublier qu'elle existe...oublier le mal qui l'habite ! Une solhouette courait dans les couloirs de l'Academy...essayant de rejoindre son petit coin de paradis. Le vent, elle avait besoin d'un vent frai, d'un vent qui pourrait l'aimer et la rassurer...et ça, elle ne le trouvait que sur le toit...où au QG des Tenya...

Elle y était, cette silhouette élancée. A peine eut-elle fait un pas...que le vent vint à l'enlacer...la rassurer...la protéger. Oui, la protéger de ce brasier incontrolable et ardent qui vivait en elle...la protéger d'elle-même...en la calmant de sa douce musicalité tant apprécié.
A peine fut-elle calmée...qu'elle remarqua enfin qu'il y avait quelqu'un sur le toit. Un jeune homme, qui ne devait probablement pas s'attendre à voir arriver une jeune fille en trombe...à une telle heure de la nuit.

Oui, dans sa quête d'essayer de faire taire sa douleur, ses flammes intérieurs, elle n'avait pas vu le temps passé...et s'en sentait triste...elle qui aimait tant la vie animée des habitants de l'île...eux qui dormaient et s'oublier le temps d'une nuit de lune passionée...
Shoryu, car s'était elle, se releva. A peine était-elle arriver qu'elle s'était mise à genoux...elle n'était pas encore totalement fixe sur ses jambes...mais elle alla rejoindre le jeune homme.

S'installant sur le muret...elle laissa son regard partir vers le ciel, et le regarder...elle se sentait honteuse d'avoir montré de la faiblesse face à quelqu'un...surtout, qu'il était la seconde personne à la voir dans cet état.
Alors que la mélancolie reprenait place sur son visage, sa voix douce et fine...se fit entendre, portant ses paroles vers le jeune homme :

"Gomen...je t'ai probablement dérangé..."

Une mort certaine qui guète a chaque secondes, chaque jours, chaque pas. Les humains avancent dans leur vie et ils meurent a la fin. Pourquoi vouloir faire de sa vie un paradis? alors que nous allons tous mourrir un jour ou l'autre?

La haine, la souffrance, la peur, l'angoisse. Tout ca représentait pour Ryobe sa seul raison de vivre. Le vent, ce vent qui détruis des maisons, anéanti les vies, crée des liens. Il est, et resteras pour toujours, la seule grande force qui reposait un homme.

Ryobe entendit quelqu'un sur le toit. Il ouvrit ses yeux et était prêt a faire apparaitre une arme pour combattre, mais la personne qui arrivait avait quelque chose d'anormal. Quelque chose qui n'avait rien a voir avec les autres personnes qu'il as eu la malchance de rencontrer une fois dans sa vie. Il refermas les yeux et reposa sa main sur le toit. Il entendit alors une voie douce, calme, fine.

D'apèrs le ton de la voie, c'était une fille, mais Ryobe ne pouvait savoir plus sur cette fille qui venait d'arriver. Après que la visiteuse ait parlé, Ryobe laissa un moment de silence, laissant le vent souffler. Il prit alors une petite inspiration.

"Non tu ne me dérange pas...Je viens juste ici pour me reposer"

Shoryu remarqua plutôt rapidement que ce jeune homme était un solitaire...un peu comme elle ? Ce fait la fit légérement sourire...il ne dirait à personne qu'il avait entendu une jeune fille comme elle hurler de douleur sur le toit...c'était déjà ça de gagner !

Sa réponse était courtre, simple. Il parlait aussi peu que Shoryu en mode mélancolie...alors là, avoir un dialogue élaboré risque d'être duraille...mais le vent souflait, aidant toujours Shoryu pour se sociabiliser...le pauvre, il aime pas la savoir seule la petite damoiselle ! ^^

"Il fait bon ce soir...le vent est agréble...tu ne trouves pas ?"

Malgré que sa voix était lointaine...tout comme son regard...elle s'adressait à Ryobe. Il lui rapellait celle qu'elle était en arrivant ici il y a trois ans. Toujours sur la défensive, prêtes à user de ses dons à la moindre action suspecte...une peur maladive des êtres humains ! Elle qui n'avait connu que les animaux....c'était dur de trouver des "semblables"...et de les accepter dans son monde de rêves...

Cette fille....Elle comprenait Ryobe ou était-ce une illusion qu'il se donnait?...Le vent, pourquoi parler de lui. Ce vent qui peut anéantir toute une civilisation, cette force de la nature invisible et pourtant si forte et impréssionnante.

Ryobe avait les yeux vide malgrès son teint légèrement rougis, il n'avait jamais eu aucun ami, il avait du souffrir de la solitude. Cette même solitude qui l'as ammené a arriver dans cette école, cette chose qu'on appelle "Le Destin" avait toujours été cruel envers lui. La vie et la mort, un si grand rapprochement, pourtant si loin l'un de l'autre, le temps peut faire disparaitre les traces de toutes civilisations, mais il ne pourras jamais enlever les souvenirs, ceux qui ont brisé toute sa vie.

Maintenant il se retrouvait seul avec une fille sur un toit, une chose qui ne l'aurait même pas éffleurer l'esprit, sa grande solitude aurait-t'elle prit fin?....Non ca parait impossible, il c'est toujorus senti mieux de la société actuelle, loin de tous ces hommes qui voulaient tout détruire. Les humains vont se détruire eux-même un jour, la guerre qui entraine des maladie, la déstruction en continue de cette belle terre.

Certaines personnes voient leur vie, eux animaux, comme quelque chose d'important. Tout ce qu'ils ont fait...Ca n'as fait que causé du tort a tout le monde, n'oublions pas que nous sommes que des animaux. Sur la vie de la Terre nous avons seulement vécu que quelques milliard d'années, alors que des éscpèce aujourd'hui en train de disparaitre a cause de l'homme, étaient la avant même nous et avant encore d'autes animaux.

Ryobe avait pensé a tout ca au moment ou la fille lui avait posé la question, ce qui mit un moment de silence dans leur conversation.

"Il est vrai qu'il fait bon."

Pourquoi Ryobe n'arrivait t'il pas a parler?...Cette solitude avait t'elle afféctée sa facon d'être envers les gens? était t'il devenu si inscociable?....

Les deux paraissaient plongé dans leur pensé. Mélancolie, rancoeur, trsitesse, incompréhension...des termes qui exprimait les ressentimments de ces deux enfants. Oui, quelque soit leur passé, quelque soit leur maturité, leur âme d'enfant se devait d'avoir encore une once d'existence...sinon...comment pourrait-il encore être passioné ? Sont-ils seulement passionés ?

C'est alors que Ryobe répondit. Sa voix brisa le silence qui s'était petit à petit mit en place...baignant les lieux d'une douceur étrangemment calme et agréable.
Les deux ne parlaient plus...Shoryu profitait de ce ciel clair et pur...ce ciel qui lui offrait et prouvait son unique liberté : la vie. Elle avait toujours était tel un animal sauvage, montrant les crocs par peur de la vérité, par peur d'être bléssé. Ici, certains personnes c'étaient montré bonnes et généreuses, d'autres mesquines et mauvaises...tout le monde n'est pas pareil ! Chacun à sa vision des choses, non ?

"Ne...anta dare ?"

Sa voix était toujours la même...mais l'on pouvait déceler la curiosité...Anta Dare...Qui es-tu...une question si commune, mais dont les réponses offrent toujours de nouveaux horizons, de nouvelles rencontres...et parfois, de nouvelles amitiés !

Ryobe profitas du moment de silence, regardant la lune devant lui qui était le seul éclarage naturel. On pouvait voir la faible lueurs des étoiles sans grand problème. Il se souvint alors de l'image de son père, celui qui l'avait sauvé la vie alors que Ryobe n'était qu'un enfant.

Il était sur terre, cependant, la fille qui était a coter de lui le faisait comme décoller. Il n'avait jamais eu de conversation avec une fille, il rougit alors et mit sa tête de facon a qu'on ne voie pas qu'il rougit autant.

"Je me nomme Ryobe Achizu. Et toi qui est-tu?"

La demande était douce, pourtant quelque chose détruisait cette fille de l'intérieur et cela intriguait le jeune garçon.

» Arrivée d'Erika dans la ville [libre!]