Nom : Ko
Prénom : Anzu
Age : 16
Sexe : feminin
Sexualité : hétéro
Rang : étudiant
Pouvoirs :
le vent : Anzu à le pouvoir de contrôler le vent. Lorsqu'elle uitlise ce pouvoir ses yeux change de couleur.
Lire dans les pensées : Elle a aussi le pouvoir de lire dans les pensées des autres. Un pouvoir qu'elle aurait préféré ne jamais avoir eu...
Caractère : Depuis la mort de ses parents Anzu s'est forgée beaucoup de caractère. Elle sait ce qu'elle veut. Qaund elle commence quelque chose, elle va toujours jusqu'au bout. Elle a beaucoup de courage. Elle aime la solitude, elle demande rarement de l'aide aux autres, elle préfère se débrouiller seul. Son amitié est dure à s'approprier, elle est méfiante vis à vis des autres, elle n'accorque que très rarement sa confiance. Il faut donc du temps... parfois beaucoup de temps pour figurer du côté des amis d'Anzu. Enfin il vaus mieu être son ami que son ennemi ^^. Après c'est à vous de voir. Elle n'aime pas qu'on la juge, elle ne le fait pas donc pourquoi se laisserait-elle faire ? Elle préfère être discrète, elle ne cherche pas les "emmerdes", mais si quelqu'un la provoque vous êtes sur qu'au moins à la deuxième provocation elle rispostera. Pour la dupper, il faut si mettre a plusieurs, elle est loin d'être naïve. Elle ne se laisse pas influencer ni manipuler.
Physique : Anzu est de taille normal c'est à dire ni trop grande ni trop petite. Elle est fine et élancée. Elle a de long cheveux lisses, chatain clair qu'elle attache rarement. Elle a un visage rond avec de beaux yeux vert qui virent quand elle utilise sont pouvoir du vent au gris. Elle sourit rarement mais ceux qui on la possibilité de voire son sourire son toujours charmé par celui-ci.
Histoire : Anzu aurait-elle voulu naitre ? Peut être que la réponse à cette question qu'elle se posera tout le long de son adloescence était non... Le 25 novembre, sa mère mourru en la fesant naitre.
Les jours passèrent, Anzu vivait avec son père seul dans une petite maison qui semblait bien vide car celui ci était toujours partis en voyage. Son métier... vendeur de produit dans le monde de la magie occupait beaucoup de place, occupé la plupart de son temps. Etait-ce possible d'être jalouse d'un métier ? Anzu en avait l'impression, elle éprouvait tant de haine en vers ce métier et en vers son père quand elle se retrouvait à nouveau seul dans cette maison. Avait-elle l'impression d'avoir une famille ou plutôt un père ?... Non... Avait-il été une fois seulement là pmour sa fille, pour Anzu ? Oui... Il l'a élévé jusqu'à se qu'elle devint mure, jusqu'à ses 14 ans... Depuis cette date il avait repris ses voyages...
Akira avait eu vent d'une exellente école qui acceptait les êtres humains comme Anzu, ceux qui possédaient un pouvoirs. Elle s'entrainait donc chaque jour... seul. Aurait-elle aimé avoir un père à ses côté, un frère, une soeur ? Oui... Mais elle se n'était pas le cas.
Elle se sentait coupable de la mort de sa mère, aurait-elle aimé avoir quelqu'un à ses côté ? Oui... Comment un petit être pouvait éprouver, demander tant de chose que l'ont ne peu pas avoir ?
Aurait-elle aimé avoir quelqun pour l'épauler quand elle en avait besoin quand elle était submergée par la tristesse ? Oui...
Un soir après avoir finis son entrainement, elle se sentait prette à entrer dans ce pensionnat.
Elle alla s'inscrire et imprima le neccessaire il ne manquait plus que la signature de son père...
Il devait justement revenir ce soir d'un long voyage. Elle l'attendit puis une fois arrivé, elle lui annonca la nouvelle. Elle s'y attendait... elle était sur de sa réaction. Mais elle lui dit que 16 était passé, 16 ans de solitudes, 16 ans de malheur... Elle ne pouvait plus rester, non elle s'en irait dans une semaine.
Son père accepta de signer.
Puis 7 jours plus tard il partit à nouveau en voyage, il lui avait dit qu'elle ne resterait pas dans ce pensionnat, qu'elle l'avait pris de court, que ça ne se passerait pas comme ça.
Mais c'était déjà trop tard.
Elle referma la porte à clef et place la clef sous une pierre et pris ses valises et s'en alla.
Elle regarda pour la dernière fois cette maison.
Des souvenir refirent surface. Pouvait-on appelé ça des souvenirs ?
De toute façon tout prenait fin pour tout recommencer...
Signe particulier : aucun